19 mars 1917

Publié le par Alain

Le 19 mars 1917

 

Ma chère Margot

 

Deux mots seulement, je pense quand même que vous aitent tous en bonne santé hier pas de lettre n’y aujourd’hui non plus. J’ai espoir d’en avoir deux demain.

Moi la santé est très bonne pour le moment je suis toujours à mon même poste l’autre arrivera que dans 4 ou 5 jours.

Maintenant comme je t’ai déjà je ne sai si j’y resterai mais en tout cas je m’arengerai par ailleurs ci possible. C’est jours nous avons de brillants succès. Nous sommes tous très heureux d’avoir de c’est bonne nouvelles.

Nous avons sérieusement culbutter les boches, espérons que nous les poursuiverons à ce qu’ils ce rende complètement. S’il ne fallait que ma personne, je serait heureux de partir dès maintenant pour en finir.

Je n’aie pas reçut de nouvelles de Chenonceaux j’en aurai peut être demain. Ma chère petite Margot, je ne vois pas grand-chose à te dire aujourd’hui j’attendrai d’avoirde tes bonnes nouvelles pour moi t’en annoncer d’autredu genre ci-dessus.

Ton petit zouave qui t’aime et t’embrasse mille fois de tous son cœur ainsi que les enfants.

E. Vallet

 

Embrasse bien fort le Papa la Maman Vincent et grand-mère Rousseau

 

A demain le plaisir de te lire.

Publié dans blogduboucher

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