21 janvier 1918

Publié le par Alain

Le 21 Janvier 1918

 

Bien Chère Margot

 

J’ai reçut ce soir ton mandat de 10f, tu remerciras bien la Maman et le papa Vincent pour moi. Et tu leurs en accuseras reception. La santé est bonne pour moi pour le moment et serait bien désireux que ma petite misive te trouve de même, ainsi que les parents. J’ai également reçut ta carte venant d’Amboise, certainement que tu auras été livrer tes peaux, je te remerci beaucoup, je vois que tu pense bien toujours à moi.

Hier je ne t’ai pas écrit, enfint ne croit pas que je t’oubliai pour cela, mais comme tu es avertie à ne pas te tourmenter si tu es quelques fois deux jours s’en recevoir.

Tu c’est que malgrés tous que ma pensée est toujours vert toi. Je sui heureux que tu est fait un bon marché sur ta vache. Depuis le début de la campagne tu as toujours très bien travailler tu as été très malheureuse, surtout qu’a mon départ nous devions beaucoup d’argent et aujourd’hui comme tu me dis te voila bientôt acquittée de tous.

Comme tu me dis si nous pouvions arriver à nous rétablire complètement si un jour ont veut ce payer un plaisir ont a de l’argent qui ne dois rien à personne.

Le depart de Léon ta donner beaucoup de mal, mais ta rapporter également beaucoup d’économie. Quand pense tu ?

Tu auras toi aussi serieusement souffert de cette triste guerre. Espéront que le plus terrible est fini que nous verront bientôt la fin.

Je pense toujours partire en permission vert la fin de Février aussitôt fixer je te le ferait savoir. Nous tacherons de nous rattrapper des jours que nous avons perdu à Paris.

Ma chère petite Margot en attendant demain le plaisir de te lire plus longuement. Je m’arète en t’embrassant milles fois de tous mon cœur ainsi que les enfants.

Ton mari qui t’aime pour la vie.

 

E. Vallet

 

Embrasse le Papa la Maman Vincent et la grand-mère Rousseau.

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