25 janvier 1918

Publié le par Alain

Le 25 Janvier 1918

 

Ma Chère Petite Margot

 

En réponse à ta lettre du 20, très heureux d’avoir le bonheur de te lire régulièrement et de te savoir en bonne santé, pour moi sa va assez bien pour le moment. Tu n’attendras pas une lettre du 24 car je n’ai pu écrire, enfint n’en est pas moint comme tu dois penser que ma pensée été vert toi, aussi ce soir me tarder d’avoir un petit moment pour t’écrire.

Je pense que tu reçoit toujour régulièrement mes lettres depuis mon retour de Paris.

Je n’ai pas reçut comme tu m’anonçais de la Tante Vincent.

Maintenant j’ai espoir d’aller en permission avant de monter définitivement à moint qu’il ne survienne quelques chose comme ont (déchiré). Enfint c’est l’avenir (déchiré) réservera cela il faut (déchiré) cette espoir, que nous nous verrons d’ici peu et en bonne santé.

Maintenant tu dois commençer à te mettre à jour au point de vue de ton travail ton absence naturellement ta donner du travail suplémentaire à ton arrivée, maintenant tu roule dans ton ancien entrémement et pour combien tu le feras seul, encore ? Je pense que tu as plus des ¾ fait quand pense tu.

Maintenant à la prochaine lettre que j’enverrai à Cormery, je pourrai leurs parler de notre escapade à Paris. Tu me répondras à ce sujet.

Je sui très heureux que tu est fait un très bon marcher sur ta dernière bète. C’est un bénéfice interressant.

Je pense que chez Galichet à Granlai sa sera beaucoup plus dificile.

(déchiré) ont a jamais trouver (déchiré) répondais bien à poid. (déchiré) très mal, et il aime vendre très chère. Enfint si tu fais affaire espèrons que tu auras ton petit bénéfice. Tu me dire que tu vas aller à Tours pour te faire arenger ton chapeau, tu me fait qu’un plaisir car tu c’est que j’aime que tu n’églige pas ta personne au point de vue toilette et autre, il faut faire comme tous suivre la mode naturellement et qui parfoit t’empécher de le faire c’étais le manque de fond, car tu aurais été très heureuse de pouvoir le faire. Tu auras toi aussi en ce que cétais la misère depuis ton mariage, ma pauvre enfants, enfint espéront des jours meilleurs.

Je te raconte tous ces chose qui sont la réalité et puis sa me fait plaisir de te causer plus longuement. Madame Poitou auras été heureuse que tu lui apporte de l’argent. Malgrét que certainement elle n’avait pas peur de le perdre.

Tu pourras dire que c’es toi qui auras arriver à le faire par tes bons principe et ta bonne organisation. Combien je sui heureux d’apprendre tous ces bonnes chose que (…) de te repéter.

Ma chère Petite Margot pour ton manteau comme tu dis malheureusement je n’ai pas eu beaucoup de tent de me rendre compte.

Mais il m’a paru très bien aussi. Ma chère Petite fille je termine en t’embrassant milles fois du plus profond de mon cœur ainsi que les enfants.

            Ton Petit mari qui t’aime pour la vie.

 

E. Vallet

 

Il est temp que je m’arète car je n’ai plus de papier. Encore milles bons baisers.

A demain le plaisir de te lire aujourd’hui (…)

Embrasse le Papa la Maman Vincent et la grand-mère Rousseau. Mes amitiés et bien le bonjour à monsieur et Me Fessant et donne moi des détails sur la santé de la bonne maman Fessant, dis lui que je ne l’oubli pas et que j’espère un pront rétablissement.

Publié dans blogduboucher

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