06 juillet 1918

Publié le par Alain

Le Bourger le 6 juillet 1918


Bien Chère Margot


Je ne sui pas encore arriver, mais ne te tourmente pas, car j'ai pris mais précautions, et je pense qu'il n'y aura pas d'ennui, je doit partire ce soir à 4h, et aussitôt arriver je te le ferait savoir, d'aprét des renseignement de plkusieurs camarades trouver ici, ils seraient décendu des lignes.

Mais restant toujour dans les parages.

Ce que tu deviez être fatiguée Vendredi, moi j'ai dormi un peu dans le train je pense que tu auras reçut ma carte que je t'ai mis en coure de route.

Je voudrais bien être rendu car j'en sui fatiguer de voyager enfint j'arriverai peu être ce soir quand même.

Ce ne sera pas la peine que tu m'envoi un compte goute il y a un camarade qui m'en a donner un.

Ma Petite Margot en attendant l'arrivée définitive pour te donner le résulta de mon voyage je termine en t'embrassant du plus profond de mon coeur, ainsi que la maman et les Enfants.

Ton Petit Mari qui t'aime pour la vie.


E. Vallet


Embrasse la cousine, et les deux petits cousins.

Tu me donneras le résulta de votre retour, je pense qu'il ce sera bien fait.

Encore milles bons baisers.

Publié dans blogduboucher

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