22 aout 1918

Publié le par Alain

Le 22 Aout 1918


Bien Chère Margot


C'est d'aprét mes pensements fais quelques heures aprét que je te fait c'est deux mots, c'est de très dure passage, surtout moi quand ont fini un endroit il faut retourner un autre et 3 fois comme cela. Je sui un des plus grand blessé de la salle, mais malgrét cela ont s'occupe sen cesse de moi les deux soeurs sont très aimable et j'ai mon infirmière Mad. Lamarne elle est de ces plus devouées depuis mon arrivée elle a voulut m'accompagner sur le billard pour mes opérations et je tien absolument que ce soit elle qui me fasse mes pensements surtout qu'elle connait les dispositions de mes plait ayant assister à l'opération pour moi c'est très dificile à faire il faut qu'il soit 5 à 6 aprét moi. La nuit à été assez agitée et malgrét cela je n'ai plus de fièvre. Alors ne te tourmente pas mes blessures ne sont pas mortelles et je pense que sa demanderas du temp que je remonte aussi j'en ai reçut ma part. Ecrit à tous le monde aussitôt pour donner de mes nouvelles parce que moi sa mes trop dificile.

On va me faire avoir un certifica et si sa te plait de venir me voir sa te couterai ¼ de place. Enfint tu verras, mon état est très douloureux je te repète pas mortelle.

Embrasse la maman et les Enfants

Ton mari qui t'aime et t'embrasse du plus profond du coeur.


E. Vallet


Tu auras certainement de mes nouvelles maintenant tu as du s'ennuyai.

Embrasse la Cousine et ses Enfants

Je pense que Roger va mieux.

A bientôt le plaisir de te lire.

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