10 janvier 1918

Publié le par Alain

Le 10 janvier 1918

 

Bien Chère Margot

 

Je pense que tu auras reçut ma lettre d’hiert je trouve drole de ne pas avoir reçut de lettre aujourd’hui me donnant des détail sur la santé du Papa Vincent, ainsi que la cause qui à put t’empécher de venir simplement qu’un jour que nous aurions passer ensemble, dimoint j’aurai eu le bonheur de te voir surtout que je venais que dans cette intention et voila que je vais repartir s’en avoir le bonheur de t’avoir vu , c’est une chose bien dure.

Je repart samedi vert 10h et quelques chose du matin.

Je pense demain matin à ma rentré au passage des Petits pères que j’aurai une longue lettre de toi et détaillée, c’est probablement que papa aura prit froid et qui lui aura prit une crise.

Demain je pense avoir une lettre me disant que sa santé est meilleur.

Voila 9h ½  je sui seul auprét de mon lit à t’écrire ce n’étais pas ce que j’avais rever, je pensais bien au contraire que nous allions passer trois jours heureux tous les dex.

Tu dois penser que je m’ennui seul, nous avons été hiert soir au théatre mais maintenant je ne veut plus sortir, enfint je vais toujours me reposer car je puis te dire que j’en avais grand besoint.

Je pense que tu es en bonne santé ainsi que les enfants.

Ton mari qui t’aime pour la vie et qui t’embrasse bien fort ainsi que les enfanst.

 

E.Vallet

 

Adolphine et sa Maman se joignent à moi pour t’embrasser ainsi que les enfants. Embrasse bien le Papa la Maman Vincent et grand-mère Rousseau

Publié dans blogduboucher

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