12 janvier 1918

Publié le par Alain

Le 12 janvier 1918

Bien Chère Margot

Je t’annonce mon arrivée qui a été bonne, mais douloureuse pour le départ, mais il faut bien si résigner, notre céjour ensemble a été bien coure et qu’au contraire nous aurions put passer 2 ou 4 jours si heureux.

Enfint il ne faut plus y penser je sui revenu quand plus heureux que si tu n’étais pas venu, j’ai eu le plaisir de te voir et de te savoir en bonne santé.

Je pense que tu t’ennuiras pas pendant les quelques jours que tu passeras auprét d’Adolphine qui est si heureuse de t’avoir.

Comme elle la été pour moi, ainsi que sa maman.

Tu me donneras l’emploit du temp ton céjour à Paris. Le soir avant de te coucher tu m’enverras une petite misive qui me fera grand plaisir de recevoir.

Je sui arriver à 4h ½ alors tu vois que sa na pas été longt.

Quand je vous est quitte à l’arrivée en gare mon trein partais comme vous avez du voir, alors j’ai prit le suivant. Comme vous avez vu, qui ne ma donner aucun retard, au contraire que le plaisir de faire la navette pour aller vous voir, malheureusement il me manquait une échelle pour monter sur le pont pour te donner mes derniers baisers ainsi qu’a petite sœur Adolphine.

Enfint tu peu penser que c’étais ma réelle pensée, qui malheureusemnt ne pouvait mettre à exécution.

Il nous faut esperez maintenant que notre rencontre sera proche. Je pense que vous avez fait bon retour. Je pense que tu me le feras savoir, pour que je soi plus tranqu’il. Notre séparation dans l’espace de quelques heures est devenue très grande, c’est notre vie bientôt depuis 4 ans. Nous commençont à y être abituer. Espéront que d’ici peu ce sera le retour.

Maintenant je dois te dire que le vin que tu m’as forcer à emporter est exellent, il est telment bon qu’une bouteille à chaque repas sa ne sera pas de trop, alors tu pourras dire au Pharmacien qu’il m’en envoi 3 bouteilles par jours ? …Tu lui feras un bon payable aprét la guerre. Quand pense tu ? … et vous chère petite soeure votre avie, et Mareine, et Louis je sui certain que la parole de Louis sera meilleur ! Bien Chère Margot je termine en t’embrassant du plus profond de mon cœur. Ton mari qui t’aime pour la vie.

E. Vallet

Bonne nuit
 

Tu embrasseras bien Adolphine la Maman et le petit Louis du plus profond de ton cœur pour moi. Et je souhaite que le rhume de la maman soit passer au plus vite. Encore milles bons baisers de ton petit Edouard.

Publié dans blogduboucher

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