23 juin 1918

Publié le par Alain

Les lignes le 23 Juin 1918


Bien Chère Margot


En réponse à ta lettre du 18 heureux d'avoir de tes nouvelles dumoint qu'ils sont meilleur que ces jours derniers.

Alors sur ce que je vois les corespondances ne marche pas régulièrement je t'écris tous les jours alors tu vois ce que tu as dégarer comme corespondances.

J'attends la réonse pour ma permission savoir si je part demain, je serait cela ce soir, aussi je vais pas cacheter ma lettre et si sa arrive je te le ferait savoir.

Comme je t'ai déjà dis hiers j'ai bien reçut ta carte, ta lettre me fait encore plus grand plaisir, surtout au point devue de sa santé.

Oui comme je vois il n'est pas possible de faire des affaires avec Mr Mazouer c'est des gens tous ce qu'il y a de plus faux.

Aussi il faut y aller que quand ont ne peu pas faire autrement c'est des gens qui ne pense que pour eux, surtout elle.

Si tu peu t'arrengeais avec Mr Pontois tu sera je pense beaucoup mieux satisfette. Il me revient à l'idée à ma dernière permission je lui avais vendu une cuisse de boeuf et une tête veau les 4 pieds avec je croit ce que vous avez regler cela avec M. Pontoir, je le pense je ne croit pas que tu l'auras oubliai.

Ma chère Margot, en attendant le plaisir de te lire demain et le plaisir de te voir ces jours en bonne santé, je termine en t'embrassant du plus profond de mon coeur ainsi que les Enfants et la Maman.

Ton Petit Mari qui t'aime pour la vie.


E. Vallet


Embrasse la grand mère et le bonjour à M. Renard et dit lui que j'ai espoir que nous pourrons trinquer ensemble d'ici quelques jours.

Encore milles bons baisers

Alors j'attend le dernier moment pour cacheter ma lettre.

J'espédie ma lettre sen savoir encore si je partirai le 25 il ne faut pas compter avant le 26 pour (...) le 27. Enfint je pense obtenir (...)

Dans l'attende reçoit encore mes plus gros baisers.

Publié dans blogduboucher

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article