21 septembre 1918

Publié le par Alain

Le 21 Septembre 1918


Bien Chère Margot


En réponse à ta lettre du 17 alors tu as eu des nouvelles d'Henri moi aussi il me dis qu'après renseignement que mon cas est un cas de réforme certainement celui qui est pistonner, peu être mais ce n'est pas un cas de réforme dumoint je ne pense pas, si je peu déjà être verser dans l'oxcilaire. Je m'estimerai déjà bien heureux maintenant je l'espère.

Avant de partire d'ici je parlerai au major pour mes papiers. Je n'ai toujour jamais rien reçut de ma Compagnie. Je vais écrire au grand Dépôt si quelques fois il aurait envoyer la bas.

J'aurai certainement une réponse d'une façon ou d'une autre sa m'ennuirai beaucoup de partire d'ici s'en avoir mes papiers de la Compagnie.

Espérons que tout sarengera pour le mieux.

Madame Galichet ne vient donc plus pour faire ton ménage et la mère Champeaux.

Il te faudrait une femme qui resterai tous les jours, tu aurais bien assez de travail pour l'occuper mais comme tu dis c'est dificile à trouver.

Jen doute pas que tu aurais besoint de repot mais malheureusement il ne tes pas possible de le prendre dans ton métier, pour cela il faudrait une personne comme je te disai ci dessus.

Ma Petite Margot je te quitte en t'embrassant du plus profond de mon coeur ainsi que les Enfants et la maman.

Ton Mari qui t'aime pour la vie.


E. Vallet

Publié dans blogduboucher

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