16 mai 1918

Publié le par Alain

Les lignes le 16 Mai 1918

 

Bien Chère Margot

 

En réponse à ta lettre du 13 heureux d’avoir de bonne nouvelles. Pour moi toujour la même chose la nuit a été assez calme que quelques bombardement par avions la journée à jusqu’ici été calme aussi, je pense qu’elle se continura ainsi que la nuit.

J’ai le bonheur de t’apprendre que nous somme relever cette nuit, et nous devons décendre au repot à environs 12km des lignes pour 8 jours et ensuite nous reprendrons les lignes.

Je t’envoi un petit souvenir des lignes c’est un para chute je pense qu’il te parviendra et que sa te fera plaisir je t’en enverrai un autre demain j’en enverrai également un à Adolphine, j’en ai trois.

Il fait une journée superbe serions si heureux si nous étions ensemble par ce beau temps, les permissions marche il en part deux par jours et part compagnie des lignes, et je croit que quand nous seront complètement relever il en partira de pls fort détachement, d’aprét ce que l’ont dit.

Ma chère Margot, j’ai été obliger d’abandonner ma lettre par suite du bombardement qui a durer une heure enfint sa c’est bien passer. Je pense qu’ils seront sage cette nuit pour nous laiser faire notre relève convenablement. Je pense demain écrire en plus grand sécurité.

Merci des nouvelles du pays. Je croit en effet que Paul est fou ainsi que les deux autres de ce marier dans ces conditions, il ne connaisse pas la misère ils pourront l’apprendre.

Le pauvre Massacre a été vivement oublié, et sa femme, qu’es t-elle devenue.

Elle est certainement pas restée avec cette bande la.

J’ai reçut une réponse de la famille Vaugoin si il me semble t’en avoir parler, il m’a envoyer une lettre bien faite donc je te ferait voir à ma prochaine permission, il me demande quand j’irai en permission de lui donner un rendévous à Tours si sa m’ees plus facile pour pouvoir causer avec moi, je ne lui est pas donner de réponse à ce sujet je leur écrirai c’est jours.

Ma Chère Petite Margot je te quitte en t’embrassant milles fois de tous mon cœur ainsi que les enfants.

Ton Petit Mari qui pense bien à toi.

 

E. Vallet

 

Embrasse les Parents pour moi.

Je ne c’est si ma lettre partira ce soir parce que le courier ne dois pas décendre. Je tacherai de la donner à nos (…).

Publié dans blogduboucher

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